mon matériel

​Pratiquer la photographie n'est pas une passion très ancienne ; elle m'est venue progressivement lorsque j'étais étudiant, avec les premiers voyages et la nécessité de rapporter de belles photographies pour les souvenirs et la famille.

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Sans remonter trop loin en arrière (avant l'avènement de la photographie numérique), mon premier appareil photo avec lequel j'ai vraiment essayé de composer des photos lors de voyages était un petit compact de marque KONICA-MINOLTA, modèle Revio KD420Z, de 4 Méga-Pixels seulement, mais pour l'époque, c'était déjà beaucoup !

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C'est avec ce petit appareil que j'ai réalisé mes premières photos de grands voyages : Californie, Suède, Venise, Berlin, Stocholm...

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En 2008, j'ai acheté mon premier réflex, tropicalisé : un PENTAX K10D avec lequel j'ai vraiment expérimenté la photographie, en paramétrant tous les réglages possibles et imaginables, pour tenter des photos de nuit, des flous, des macros, etc. ​J'utilisais alors le kit de base (objectif 18-55 mm) ainsi qu'un objectif SIGMA 70-300 mm. Cet appareil m'a apporté de grandes satisfactions et m'a permis de réaliser de très belles photographies dans des conditions parfois difficiles. Malheureusement, je me suis fait voler cet appareil et son objectif zoom lors d'un cambriolage en novembre 2011.

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Août 2012 : alors que de nouvelles vacances au Maroc sont programmées, j'achète un nouveau réflex de marque PENTAX : le modèle expert K5, qui me permet de monter en gamme.

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Vous vous demandez pourquoi je m'obstine à acheter PENTAX, quand la plupart ne jurent que par CANON ou NIKON ?

Ce que j'apprécie chez ce constructeur, c'est tout d'abord le fait qu'il soit le seul à proposer des boîtiers tropicalisés (protection pluie, neige, sable, poussière...). Et là ou j'ai emmené mon premier réflex (déserts de sable, montagne...), je pense sincèrement que cela est un gros plus. Deuxièmement, les boîtiers PENTAX sont stabilisés à la différence de beaucoup de ses concurrents, ce qui réduit significativement le coût d'achat d'objectifs par la suite. Et quand on a aimé une marque, difficile d'en changer...

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Et puis s'il y a quelque chose qui m'énerve par dessus tout, c'est de devoir faire comme tout le monde​. 

Décidément, je ne me referai pas...​

 

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